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Nuances d’encre
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Le sanctuaire des rêves perdus

Le sanctuaire des rêves perdus

 


Connu sous le nom de "Vitrail des Rêves Perdus" dans un paysage onirique de collines ondulantes, toutes ces années l’ont chargé des soucis, des rêves évanouis, d’espoirs et de prières, ils disaient que lorsqu’on le regardait il exprimait les suppliques de tous emportées vers l’inconnu.
Un jour, une femme arriva portant un fardeau de chagrin et d'incertitudes, ayant entendu parler du pouvoir du vitrail, elle se rendit à l'église une nuit de pleine lune. Assise en silence, elle contempla le vitrail, les larmes coulant sur ses joues elle lui confia ses plus profondes aspirations les yeux tournés vers les étoiles dessinées, à cet instant les figures prirent vie se détachant doucement du verre pour flotter autour d’elle. Ainsi touchée par cette expérience elle trouva la force de poursuivre ses rêves et devint artiste créant des œuvres inspirées par le vitrail qui venait de changer sa vie sous la poussière des millénaires.

 

 

 

 

 

 

 

 

 

L’ Art de Nouer et dénouer à la

manière de l’entre là 

 

 

 

Elle porte les osselets

ou petites pierres

 

 

 

Émile Zola s’est mis en scène par une fable avec un Lion et une Hyène, en majuscules comme dans le livre de Kells irlandais. Ces monstres se retrouvent dans la ville Paris qui enferment les autres comme des créatures d’amusement, c’est l’ironie de la civilisation soulignant les contradictions à la manière de Victor Hugo.

 

 

Gargouilles et Chimères

d’un musée à Notre Dame de Paris

 

Les gargouilles à Notre Dame se confondent avec les chimères, fantastiques et monstrueuses elles sont perçues comme gardiennes de l’édifices et censées éloigner le mauvais esprit.
La Stryge (le guetteur) semble contempler la ville de Paris, pensif et mélancolique, les Dragons et les Griffons ajoutent une touche dramatique et les Harpies et autres Monstres sont des représentations grotesques de créatures mythologiques, elles expriment la richesse du folklore médiéval et l'imagination sans limites des sculpteurs.

 

 

Tapis rouge à Notre Dame


Une question cruciale s’est posée après l’incendie de Notre Dame de Paris, comment intégrer les confessionnaux dans la cathédrale sans altérer la majesté de l’edifice ? Une idée surgit après la découverte d’une esquisse oubliée par un moine anonyme, elle semblait inspirée du livre de Kells montrant un dessin de confessionnaux suspendus qui flottaient parmi les arcs et les voûtes. Mais le clergé ne voulant plus des confessionnaux, ils ne seraient donc pas perchés selon l’idée du jardin suspendu, ainsi ils n’auraient plus de fonction pour atteindre les sommets dans le domaine de la Vérité, pourquoi l’architecte en décida-t-il autrement ? probablement pour les soumettre à la hauteur de sa pensée, nous serons dans l’idée de Noël, ils s’intégreront parfaitement à la Perse et aux rouleaux de la Bible.

 

 

 

FACE À NOTRE DAME

 

Cette page du livre de Kells fut rédigée dans un monastère Irlandais au IV ème siècle rassemblant les évangélistes que sont les apôtres de Jésus de Nazareth qui se retrouvaient chez Pierre à "Capharnaüm".

La faucille et la harpe sont étranges dans ce harnachement faisant penser à un druide, un de leurs ennemis qui ne doit pas se trouver dans l’evangeliaire de TRINITY college où est conservé le manuscrit à Dublin, quoique la faucille symbole de l’agriculture et des moissons où les moines étaient souvent impliqués dans les travaux de la terre se justifie, d’aucun dirait "pour moissonner les esprits" à la manière de la Corde et des osselets, à nous de choisir dans ce Capharnaüm (kfar de Naum).

 

 

La cueillette du houx pour Noël et des digitales pour les reposoirs de la fête Dieu

 

 

 

Les digitales (ou "Digitalis"), connues pour leurs grandes fleurs en forme de clochettes roses, étaient courantes lors des fêtes religieuses chrétiennes comme la fête Dieu. Elles étaient utilisées pour fleurir les reposoirs puisque ces fleurs sont célèbres pour leurs propriétés médicinales, bien que toxiques, nous les cherchions et les ramenIons en brassées dans les maisons. Dans la tradition elles représentent comme le houx et le gui la magie, la protection et, parfois, la mort en raison de leur toxicité. Les digitales dans le folklore celte sont appelées "gants de fées" ou "chapeaux de lutins"